6. Et les métriques dans tout ça ?
Un autre avantage révolutionnaire de la culture DevOps a été de rendre transparent nombre de processus, en temps réel. Dès lors, la métrique (les ‘KPI’) a été drastiquement transformée pour offrir de la visibilité à tous les étages. Pour piloter chaque outil, on sait à tout moment combien, comment, qui, si ça fonctionne et si non quel type de panne, quelles alertes où et pourquoi, quels incidents.
Outre l’évidence d’une gestion simplifiée et de très haute qualité pour les administrateurs systèmes, afin de garantir une continuité de services maximale même en cas, par exemple, d’énorme pic de connexion ou de carte mère qui tombe en panne.
La culture DevOps : pour une mise en place et un suivi des métriques
La culture DevOps prône la mise en place et le suivi de métriques, y compris des mesures que nous n’aurions pas pensées de prime abord.
En effet, que penser de la variation du temps moyen pour déployer une nouvelle fonctionnalité, quel est le pourcentage de serveurs automatisés ou encore quel est le taux de réussite des déploiements. Savoir quel test automatisé a le plus grand taux de plantage est un atout indéniable pour les équipes.
On s’aperçoit d’ailleurs bien souvent qu’une fois mise en place ces différentes métriques, les équipes se réfèrent à ces indicateurs de manière volontaire dans un souci d’amélioration.
Ces KPI permettent d’objectiver la production et les tests qui ont lieu en temps réel. Ceci élimine de facto les erreurs qui auraient pu être retrouvées plus tard sur une application publiée.